[Salem] Fic - Adam, Sylvius, Magda
Dec. 6th, 2007 09:22 pm![[identity profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/openid.png)
![[community profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/community.png)
Titre
: DélivranceAuteur
: IsilFandom
: SalemPersonnages
: Adam Ashcroft, Sylvius & Magda Ashlocke plus quelques autres.Rating
: PG-13, parce que c'est assez... violent? *kof*Disclaimer
: Tous à moi ♥ même les méchants, malheureusement! L'univers est à Messa, par contre ^^Notes
: Alors, Messa, tu avais demandé du Salem!Adam, ça, c'est fait... Tu avais demandé (entre autres) Manche, et ce fut dur, mais il y a une apparition d'une manche, si, si, vraiment ^^ encore une fois, c'pas très joyeux, mais apparemment, on arrive à se faire popper que des trucs moches, toi et moi XDAdam pleurait. Silencieusement, parce qu’il ne voulait pas être encore puni. Doucement, parce que bouger était douloureux. Sans larmes, parce que son visage était en feu. Alors il pleurait dans sa tête. Il pleurait parce qu’il avait mal, parce qu’il était stupide, et désobéissant, et inutile…
Oncle Darren n’avait rien dit de tel, pour une fois, mais les accusations étaient dans chaque coup porté, dans chaque cri de haine. Adam renifla en silence et se mordit la lèvre quand la douleur irradia son visage. Il était doublement puni, en plus.
Il n’aurait pas à manger, ce soir, avait dit Tante Rosabel. Ça lui apprendrait à ne pas obéir, quand elle lui avait dit de quitter la chambre de Magda. Il ferma encore plus fort les yeux. Il n’avait pas voulu partir parce qu’il avait senti que Magda avait encore besoin de lui. Elle pleurait, et elle les appelait, Sylvius et lui ! Mais lui aurait dû s’en aller sitôt son utilité terminée. Au lieu de ça, il était resté, et quand Mère était rentrée dans la chambre et l’avait trouvé encore là…
Il frissonna. Mère ne le touchait jamais. Jamais. Au contraire, elle se détournait de lui, comme s’il était une chose dégoûtante, ou une chose insignifiante… Il hocha la tête, en comprenant. Pourquoi elle le toucherait, après tout ? Il n’était pas important, il n’était utile que quand ça n’allait pas, alors bien sûr qu’ils préfèreraient tous qu’il n’existe pas… S’il n’existait pas, ça voudrait dire que tout irait bien, pas vrai ?
Cette fois non plus, Mère n’avait pas levé la main sur lui. Elle s’était détournée, quittant la pièce, et c’était Oncle Darren qui était venu le chercher. Magda avait un peu pleuré quand il avait tiré Adam par le bras pour le faire sortir, mais Sylvius l’avait calmée.
Et une fois revenus dans la chambre d’Adam… il avait été puni. Et parce qu’Oncle Darren s’était emporté et l’avait frappé au visage, il ne pourrait pas aller protéger Magda ou Sylvius jusqu’à ce qu’il soit guéri. Pour ça aussi, il était puni. Ses cousins ne réagissaient jamais bien en le voyant couvert de bleus, alors il allait devoir se cacher le temps qu’ils disparaissent. Rosabel disait qu’ils n’aimaient pas le voir quand il avait été puni, parce qu’ils détestaient quand il désobéissait, et Darren rajoutait que s’ils s’énervaient en le voyant ainsi, c’était parce qu’ils ne comprenaient pas pourquoi il ne retenait pas la leçon…
« Ils ne comprennent pas comment tu peux être une petite raclure si stupide ! » crachait parfois Darren en le battant. « Ils ne veulent pas voir que tu es un raté, une erreur, qui entache notre sang et notre Famille !! »
Adam cligna des yeux et porta la main à sa lèvre, retirant ensuite ses doigts pour les contempler, tachés de sang. Était-il si souillé, son sang ? Si impur ? Était-ce pour ça que Mère ne parlait jamais de son père, ne lui parlait jamais ? Il frissonna de nouveau. Son regard se porta ensuite sur son lit, à quelques pas de là, mais son corps était encore agité de tremblements douloureux et il renonça à l’idée de l’atteindre. Il avait froid, mais ce n’était pas grave…
Il aurait voulu dire à Mère qu’il essayait, pourtant, qu’il faisait de son mieux pour Magda, pour Sylvius, pour la Famille. Mais parfois, Magda pleurait, ou Sylvius était blessé, alors évidemment…
La prochaine fois, il ferait mieux, se promit-il en grimaçant suite à un frisson douloureux. La prochaine fois, Magda ne pleurerait pas. La prochaine fois…
Il resta un moment étendu sur le sol, à écouter le silence de sa chambre et de la maison tout autour. Parfaitement immobile, la joue contre le plancher tiède, il se concentra sur sa respiration, bien qu’elle soit un peu douloureuse. Il n’attendait rien, puisqu’il savait que personne ne viendrait. Il n’avait juste pas envie de dormir, trop épuisé pour pleurer et trop brisé pour esquisser le moindre mouvement.
Et puis, alors que la nuit était tombée, et que la Lune se levait paresseusement au dessus de Malte, il ressentit avant même de l’entendre le cri qui ébranla les murs.
Magda…
Tout son corps se tendit, déchiré par une lutte intérieure.
Ne bouge pas, ne bouge pas, tu n’as pas le droit, tu es puni !! Magda, Magda, Magda crie, elle a besoin, il faut que j’y aille… Il faut que je la protège ! Non, tu es puni, puni, puni, Magda, Magda…
Il ouvrit la bouche, et pour la première fois depuis que Darren l’avait traîné dans la chambre, il gémit de douleur. Le cri de Magda s’étrangla, puis reprit de plus belle, et il entendit des pas précipités, puis un autre cri, de rage, celui là…
Sylvius… Sylvius est avec elle, ça va aller, ça va aller… Non, non, tu dois protéger Sylvius, aussi. Sylvius et Magda, protéger, non, puni, puni, puni…
Il se leva avec un nouveau gémissement douloureux et tituba jusqu’à la porte. Les cris étaient toujours aussi déchirants, et dans sa tête, Adam sentait la faim des fantômes qui faisaient souffrir Magda et enrager Sylvius. Il se mit à courir sitôt la porte ouverte.
Il serait puni, mais ce n’était pas grave…
Il traversa le couloir, bouscula Tante Sierra et son fils, Lennard, et trébucha dans la pièce, sourd aux imprécations des adultes. Magda hurlait toujours, et Sylvius était au dessus d’elle, la protégeant de la fureur des fantômes, à la place qu’Adam aurait dû occuper. Il eut un grondement presque animal en voyant du sang couler sur la nuque de son cousin, ignora la douleur sur sa propre nuque, quand le Sceau fit son œuvre, et il se précipita en avant.
Il atterrit sur le lit à côté de ses cousins, ferma les yeux et poussa. Il y eut un dernier cri rageur de la part des fantômes, puis le silence retomba, coupé simplement par les sanglots de Magda et la respiration sifflante de Sylvius.
Adam, lui, resta où il était, prostré, le cœur battant de terreur. Il allait être puni… Il ne fallait pas que Sylvius le voie comme ça, il fallait qu’il bouge… Mais l’adrénaline qui avait aidé à sa course s’était dissipée, laissant derrière elle une douleur accrue et une fatigue intense.
A quatre pattes sur le lit, il entreprit pourtant de reculer maladroitement, gardant le visage résolument baissé, mais à peine avait-il esquissé un mouvement qu’une main rapide venait encercler son poignet.
« Adam… » geignit Magda, traduisant verbalement le mouvement de Sylvius, qui ne le lâchait pas.
Il y eut des murmures à la porte, tandis que les adultes se concertaient. Adam laissa Sylvius l’attirer vers eux, trop épuisé et trop désireux de ne plus voir les larmes inondant le visage de sa cousine adorée.
« Oh… Tu as mal, Adam, » souffla t’elle, et ce n’était pas une question, alors il n’y répondit pas.
Sylvius lui prit le menton pour lui faire relever les yeux, et il obtempéra muettement, leur loyauté envers eux prenant une fois de plus le pas sur les règles que les adultes lui inculquaient tant bien que mal de leurs coups. Il leur révéla son visage tuméfié, encore sanglant par endroits, et Magda se remit à pleurer de plus belle, tandis que Sylvius émettait un sifflement furieux. Adam se mordit la lèvre.
Darren entra dans la pièce à ce moment là, et Adam n’eut pas besoin de tourner la tête pour l’imaginer, le visage rouge de colère et la main posée sur la poignée du couteau qu’il portait à la ceinture.
« Ça suffit. Adam, sors d’ici tout de suite, espèce de petit… »
Un grondement venant de Sylvius le fit s’interrompre, mais il ne baissa pas les bras pour autant. S’avançant, il saisit Adam par son bras libre et le tira vers l’arrière.
« Viens ici ! » enragea t’il, comme si c’était lui-même qui refusait de bouger, et non pas Sylvius qui l’empêchait de quitter de lit.
Magda s’était mise à chantonner à voix basse, ses lèvres bougeant sans mots pour accompagner le fredonnement de sa berceuse, les mains sur les tempes et le corps bougeant en rythme avec sa chanson.
Lennard s’avança lui aussi, sans doute pour aider son oncle, et Adam sentit la panique l’envahir. Darren était méchant, violent, mais Lennard était vicieux et sadique. Il essaya de se débattre, mais un regard de Sylvius arrêta son ébauche de mouvement. Il s’immobilisa, se mordant la lèvre quand Darren lui tordit le poignet dans l’espoir de le déloger.
« Sylvius, lâche le ! » gronda Lennard en s’avançant, et il allait continuer quand son regard tomba sur la profonde plaie qui suintait sur la nuque de Sylvius. Son juron attira leur attention à tous, et sans trop s’en rendre compte, Sylvius lâcha Adam.
Darren inspecta rapidement la plaie, sa main serrée comme un étau autour du poignet d’Adam, puis il se tourna vers ce dernier, une rage brûlante au fond des yeux.
« Sale petite merde ! » hurla t’il. « Qu’est-ce que tu foutais, hein ? Où tu étais, petite raclure ? Où tu étais, alors que tu aurais dû être ici, à faire la seule chose à laquelle tu devrais penser ? Hein ? »
Sans cesser de hurler, il entreprit de traîner Adam loin du lit, le secouant à lui en donner le tournis. Peu importait que quelques heures plus tôt, il ait interdit lui-même à Adam de faire ce qu’il lui reprochait à présent de ne pas avoir fait. Peu importait qu’Adam lui-même soit ensanglanté, laissant une traînée sur le parquet, tandis qu’il le traînait vers la cheminée.
« Qu’est-ce qu’il faut qu’on fasse pour que tu comprennes que tu n’es rien ? Que tu n’es qu’un déchet si tu n’es pas là pour les protéger ? » rugissait-il toujours, tandis que les autres adultes s’agglutinaient autour du lit pour s’occuper de Sylvius.
« Je n’ai pas mal, je vais bien, » déclara tranquillement ce dernier en cherchant à repousser leurs mains inquiètes.
Darren le mit à genoux une fois arrivés près du feu, et, lui tordant un bras derrière le dos, il lui saisit l’autre main et l’amena vers les flammes. Adam ouvrit la bouche en un cri d’abord silencieux, puis sans pouvoir se contrôler, il se mit à hurler quand la chaleur intense mordit ses doigts.
« Ça t’apprendra à croire que tu peux te défiler, sale merdeux ! La prochaine fois, c’est ta tête que je fous dans le feu ! » menaça Darren.
Adam continuait à hurler en se débattant, comme il ne l’avait jamais fait. Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, il ruait comme une bête à l’agonie, cherchant par tous les moyens à faire cesser cette torture. Il ressentit comme un claquement sec dans son épaule, et une autre douleur irradia le bras que tenait toujours Darren, mais ce n’était rien à côté de sa main.
Indistinctement, il entendit d’autres cris derrière eux, mais sa propre voix couvrait tout, ses cris étant la seule échappatoire qu’il trouvait face à la douleur.
Et puis soudain, la main qui le tenait se fit molle, et il se sentit partir en arrière. Il s’écroula sur le sol comme une poupée sans fils, et croisa le regard vide de son oncle, et le sang qui s’écoulait de sa gorge tranchée n’était pas si différent du sien, nota t’il machinalement.
Les sons étouffés se firent d’un seul coup plus violents, et il entendit les bruits de la lutte qui opposait Sylvius et Lennard pour le couteau qui avait servi à égorger Darren. Magda s’égosillait sur son lit, et quand Adam trouva la force de se mettre à genoux, elle saisit le vase sur sa table de chevet et le brisa au visage de sa mère, qui cherchait à la calmer.
Le regard d’Adam se posa une nouvelle fois sur son oncle, puisque Magda allait bien. Il fallait qu’il aide Sylvius, par contre… Ses yeux accrochèrent le couteau que Darren portait à la ceinture, et il s’en saisit de ses doigts gourds, son épaule formant un angle étrange et douloureux.
Il se mit debout en voyant Sylvius s’effondrer en se tenant les côtes, Lennard au dessus de lui, le couteau à la main. Adam se figea, puis il croisa le regard de son cousin. Un regard calme, confiant, comme si Sylvius ne doutait pas qu’il allait le protéger, le défendre, comme il l’avait toujours fait, comme il était né pour le faire.
Étrangement, Adam se sentit sourire face à cette confiance. Il vit Magda ramasser un tesson de verre et se lever aussi, ses pieds nus évitant les autres débris de verre avec une grâce innée, et il se ramassa sur lui-même, comme un animal, bondissant en même temps qu’elle.
Elle cueillit la mère d’Adam au niveau du menton, tandis que lui frappait au visage, sans regarder, le simple choc de la lame sur l’os, puis la chair suffisant à lui faire comprendre qu’il avait réussi. Il avait protégé Sylvius, il avait protégé Magda.
Il tomba à genoux tandis que Lennard s’effondrait sans un bruit. Magda apparut derrière lui, son parfum de fleur séchée caressant ses narines. Il distingua malgré sa vue de plus en plus brouillée Sylvius ramasser le couteau puis se diriger vers Sierra, qui n’avait toujours pas bougé.
Il y eut un hurlement, puis le silence.
« C’est fini, maintenant, » lui souffla Magda. « C’est fini… »
Sylvius s’agenouilla à côté d’eux, inspecta sa sœur du regard, puis s’inquiéta d’Adam. Il lui immobilisa le bras d’un geste sûr et inspecta sa main brûlée tandis qu’Adam lui-même clignait des yeux pour rester conscient. Il se concentra sur les murmures rassurants et enjoués de Magda, qui lui répétait qu’ils étaient là, maintenant, et qu’ils allaient s’occuper de lui…
« … comme tu t’es occupé de nous, Adam, » soufflait-elle à son oreille, lui caressant le front et repoussant ses cheveux trempés de sueur. « On est là… On t’aime… »
Il sentit la première larme brûler une coupure sur sa joue, et Magda eut une petite plainte.
« Sylvius, il a mal… » gémit-elle en caressant la nuque de son cousin.
« Je l’emmène, » répondit ce dernier en se redressant.
« Où ça ? »
« Il lui faut un médecin, » expliqua t’il avec une grimace sauvage, signifiant que l’idée le répugnait autant qu’elle semblait déplaire à Magda.
Adam, lui, secoua la tête, sa respiration soudain hachée. Un médecin ? Il ne pouvait pas. Il fallait aller dehors, et il n’avait pas le droit de sortir, pas le droit. Non, il allait être puni, il n’avait pas le droit. Il se recroquevilla un peu, craignant des coups pour avoir simplement pensé à sortir et la voix de Sylvius retentit, tranchante.
« Tu es avec moi, Adam, » déclara t’il simplement, et Adam hocha la tête, rassuré. « Allez, viens… »
Magda les regarda se lever, satisfaite, puis embrassa la pièce d’un geste.
« Je vais nettoyer pendant que tu emmènes Adam aller mieux, » promit-elle en passant un doigt dans la marre de sang autour de Lennard. « Vous revenez vite, d’accord ? »
Sylvius hocha la tête et embrassa sa sœur, avant de prendre Adam par le coude. Ce dernier se laissa faire, avançant à l’aveuglette, guidé uniquement par la main de son cousin. Ils s’arrêtèrent un instant dans la chambre de ce dernier, et Sylvius l’aida à emmitoufler dans une veste trop grande pour lui puis enfila la sienne, et ils descendirent doucement les escaliers qui menaient à l’entrée.
L’air frais frappa Adam comme une gifle et il tituba. Sylvius fut à côté de lui en une seconde, une main prudente sur son épaule valide.
« Je vais te porter, » déclara t’il et Adam recula en secouant la tête.
« Non ! »
C’était à lui de porter ses punitions, il ne fallait pas, il ne devait pas les infliger à ses cousins. C’était comme ça et pas autrement, et Sylvius n’avait pas à faire quoi que ce soit. Il se plaqua contre la porte, baissant les yeux face au regard intense de son cousin.
« D’accord… » finit-il par céder après un instant qui parut un siècle. « Allez, viens, alors. »
Adam hocha la tête et le suivit à petits pas. Après le premier choc, l’air frais lui fit du bien et lui éclaircit un peu l’esprit. La nuit était fraîche, et il grelotta rapidement, claquant des dents. Devant lui, Sylvius ralentit et tendit un bras en arrière. Adam hésita, et Sylvius tourna la tête vers lui, avec à nouveau ce regard confiant, ces yeux qui disaient tant, et à nouveau, Adam sentit ses yeux le piquer.
Il fit deux pas en avant et se blottit contre son cousin, qui referma son bras contre lui. Adam regarda droit devant lui et ils se remirent à marcher. À l’aveuglette, ses doigts se refermèrent sur la manche de Sylvius, et il entendit plus qu’il ne vit le sourire de ce dernier.
Au bout de cette allée bordée de ténèbres, il y avait une ville qu’il ne connaissait pas, un médecin inconnu pour soigner ses blessures, un clocher qui se dressait, mystérieux et imposant, et tout un univers étrange et inconnu. Mais plus près de lui, il y avait aussi son cousin, solide et rassurant, et petit à petit, les pas d’Adam se firent plus assurés.
Magda lui avait dit qu’ils l’aimaient. Et s’il avait pleuré, ce n’était pas tant parce que c’était la première fois qu’il entendait ces mots, mais plutôt parce qu’il les avait crus…
FIN.
no subject
Date: 2007-12-06 09:10 pm (UTC)(Moi qui avait jamais vu le Salem!Adam pré-Joss, je suis servie v______v Il est vraiment atteint... "grogne contre les Ashcroft & Ashloke les plus vieux")
Euh... "rien de constructif à dire" J'adore ces trois-là v__v Malgré les circonstances, je suis contente de lire sur eux ^^"
no subject
Date: 2007-12-08 04:56 pm (UTC)C'est clair que c'est pas la meilleure fic pour fangirliser, mais je suis contente qu'ils te plaisent quand même, ces trois là ^o^
no subject
Date: 2007-12-08 04:45 pm (UTC)Bon, dans l'ordre :
-Adam sait que Joss l'aime, pour toujours et qu'il lui fera jamais de mal, hein? Jamais. Jamais. Jamais. Jamais.
-Est-ce que tu savais qu'on pouvait torturer un fantôme dans Salem ^"^?...Nan? Ben maintenant si-_-!!!! "grogne sur tout les macabées de la fic!!!!"
-Est-ce que Silvius s'est déjà fait embrassé par un blond? Non? Ben ça y est!! XD
-Est-ce que Magda veut une fée d'air éternelle? Ca peut s'arranger ma Belle, tout ce que tu veux, tout!!
Fic prenante "_", ceci dit, je trouve que les méchants sont un peu vu en arière, passivement.. Mais ça permet de se concentrer sur les sentiments d'Adam^^", donc le jeu est assez bien mené^^
Tu écriras encore sur eux? Parce qu'en fait, je la trouve de plus en plus iterressante la famille Ashlock/Ashcroft...
Mon côté psychopate surement XD
no subject
Date: 2007-12-08 04:55 pm (UTC)*laisse les fantômes cités se débrouiller tous seuls*
Sylvius: ... *se passe la langue sur les lèvres avec un sourire suggestif*
Magda: *o*o*o*o*
Merci~~! Je t'ai déjà répondu pour d'autres fics ^^ ça va être dur, mais on sait jamais ^^